Apocalypse, Histoire et démagogie
parQui aujourd’hui n’a pas entendu dire qu’il y a cent ans avait lieu la Première Guerre mondiale ? Devoir de mémoire et transmission des…
Qui aujourd’hui n’a pas entendu dire qu’il y a cent ans avait lieu la Première Guerre mondiale ? Devoir de mémoire et transmission des…
L’amenuisement de possibilités, de choix, pour la recherche de sens dans ce vaste territoire américain, le cinéma des années 70 en a donné un témoignage particulièrement profond. De grands bouleversements mettent à mal l’Amérique à cette époque,
L’école souffre d’un gros manque de popularité en France, mais une chose est sûre, elle a la cote dans les documentaires. Tout le monde…
En ces temps sinistres où le cinéma peine à interroger au sein des salles obscures, il est très irritant de voir des jeunes cinéastes…
Retour sur l’accueil critique d’un film maudit
La fiction déployée au sein de cette initiation amoureuse à la façade relativement simple s’accroche beaucoup trop à une quête du réel pour se laisser périr dans le folklore convenu.
« Se servir des actions presque instinctives d’une bande de pervers pour faire sens au sein des fluctuations psychologiques d’un couple, voilà ce que Peckinpah a réussi à faire et à nous amener à ressentir, avec toute sa sensibilité. »
Avec le bien nommé Intouchables, nous assistons à un art qui dissimule, une technique qui se manifeste sans en avoir l’air, et ce au frais de la princesse amnésique et paraplégique qu’est la France.
Une certaine opacité du monde est convoquée par cet espace où la lumière se raréfie, comme si ces quelques lueurs d’humanité étaient déjà vaincues.
Il y a chez Breillat quelque-chose de Rohmer, comme un fil que nous pourrions tendre des contes moraux à A ma soeur !